La joie, le bonheur

[Claudio]

Claudio s'émerveilla des progrès de son fils Andréas. Déjà il allait à quatre pattes. Déjà il n'avait plus peur de Lovely, le petit fourreu.

Il se souvenait de ses débuts malheureux comme père. Que ce nouveau métier était dur ! Mais peu à peu, il avait apprivoisé toutes les ficelles...

Maintenant, il pouvait se targuer d'avoir compris, de s'amuser avec ce petit bout d'chou. Il avait la douceur de sa mère qui s'étalait sur son visage et cet air que lui-même avait quand il dormait.

La pelote de laine roula entre les pattes de Lovely, quand Andréas se précipita pour la lui chiper. Celle-ci aussitôt reprise par Lovely. Lovely, véritable petite peluche vivante.

Claudio sourit en les voyant se chamailler gentiment, comme deux frères.

Il était heureux, il était comblé.
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Là où est le vent.