Capcha, vous passe le bonjour, et souhaite vous rejoindre ..

[Capcha]

Oyo … Voila que neni oh ma douce et belle, que nos routes se séparent. Tu as choisi le mal, la vilénie, et l’hypocrisie. J’ai choisi pour ma part l’honneur, l’humour et la bonté. Nos chemins s’égarent, notre amour aussi. Mais ma douce, ne m’oubli pas de même que mes écrits. Tu es telle un rayon de caramel, qui sur un immondice de gateau, amplifie la portée gustative tant cherchée.

Ma douce et ma belle, je m’en vais rejoindre les DAs, moi Capcha, Fondateur de la Rose Noire aujourd’hui fanée. Mes idéaux restent les même, prend donc le temps de lire mon roman, et celui de mes compagnons pour pouvoir juger mon acte, qui n’est que pure réaction face à une dégénerescence humaine qui va jusqu'à la bêtise. Il faut combattre le djin, combattre les indigents, de même que les omnipotens. Je n’aurais de repos qu’à la fin de mon périple, il touche à son apogée : La Félicité.

Rappelle toi mes rimes, oh ma douce …
Rappelle toi ma voix, oh ma douce …
Rappelle toi de nous, oh mon doux roudoudou …

Extrait de La Rose Noire :

A travers les monts et forêts, les fossés et les prés, gisent inconscients une houle de gens ayant une flamme digne des plus grands autels et des plus grands sacrifices. Au delà de la dimension spirituelle de ce regroupement, gisent des ânes et des moutons. Tout ceci suspendu à un arbre n'ayant en tout et pour tout qu'une petite armée de mécréants pour les défendre, tels des suicidaires omnipotents. Le but est clair, la destinée officielle. Pour contrer un dilemme oppressant des horlogers absents, il est évident qu'une révolution s'impose. A bas les zest et les peaux, vive les fruits, les fleurs, et les noyaux. Un de ceux qu'on adore, qu'on se plaît à regarder, à admirer, à manger, mais aussi à trouver dans de jolis sacs décorés, comme une ambroise de reine, ayant un taux aride d'amandes amêres.

« J'entend vos plaintes et vos sarcasmes, mais je ne répond que par la promesse d'un Eden, qui loin de vos désirs et de vos fautes, saura contenter par des dons matériels l'aube d'un contentement superficiel. J'entend vos peines de maisonettes, habillées de pierre et de merveilles, sentant le propre et le délicat, mais ne répond ici que par un désir de passer à autre chose qui est ingrat. J'entend bien sur aussi vos louanges, et bien que je m'en satisfasse nonchalament, je ne puis espérer delecter ma barbe, de venir vous saluer rien qu'une fois.

Mon premier se prétend justicier.
Mon second se prétend créateur.
Mon troisième se prétend magicien.
Mon quatrième se prétend défenseur.
Mon cinquième se prétend orateur.
Mon sixième est déchu au fond d'un trou.

Et pourtant malgré nos trouvailles et nos erreurs, d'un essai quelquonque de rallier à nos espoirs de pauvres vaches ayant un lait riche, nous continuons à obséder vos pensées, vos doutes et vos peines, à travers une spirale d'effroi, et d'apparitions épiphénomènes.

Qui suis-je ?

Je suis le tout, et je suis le rien, je suis le multiple et le singulier, la lumière et l'ombre, à l'état réuni, en un sang divin. »

Tout ceci n'a eu de cesse, que d'épargner à nos oreilles affranchies, une peur qui s'amoncelle et luit tout au profond d'un écarlate profond, tel une catin déchainée, qui n'ayant eu assez menue monnaie, voudrait encore se rassasier, de quelque liqueur blanche sentant bon l'albâtre. Nous avons ouïe dire que tout allait mieux, mais cela n'a pas suffit, nous lançons donc un ultimatum aux fidèles, aux preux et aux fous, qu'ils se rallient à notre cause, ou subissent notre courroux.

Le mensonge n'a eu de cesse de pervertir nos âmes, il est temps d'apparaitre au grand jour et ce sans cesse, jusqu'à obtenir l'infinie ivresse d'un désir satisfait, qui ne soit pas corporel. Grands et preux, vous qui vous dites vieux croutons qui se rallient à la garde, ne voyez vous pas ce qu'il se passe ? On vous offre des joujous, et que cela vous satisfasse, nous rend honteux de ce que nous sommes, nous pauvres mortels qui dans un élan de satire et d'effroi, lançons un dernier appel.

L'aube est debout, prête à surgir, sur les mécréants en haut du mur, qui sépare vôtre noble bêtise, d'une grande inconscience, celle de se liguer aux heurs et aux harots tant demandés, sur les vils baudets, que sont les animés. Chimères enfantines qui du haut de votre ville à l'atelier angélique, que faites vous ? Nous vous attendons pour nous barrer la vue, d'un voile sans fin sentant bon l'aumône et la griffe pleine de sang, du sang d'abât, dis donc ! Et ne serait-ce que pour voiler la conscience décharnée, nous n'attendons de vos sens, qu'une légère compensation, qu'un salut salvateur, qui du haut de votre presqu'île vous menera à la dégénérescence, et à celle de notre morne existence.

Ce qui est dit est dit, l'absurde a fait place aux écrits. Il est temps de mettre la machine en marche, la grande et chaste épreuve s'est déroulée avec succès, nous avons gravit les montagnes et les cyprès, nos cadeaux divins que sont nos lames, couperont votre abscès. Sollicitez notre attention, mais non sans raison, ou bien notre ascension n'en sera que plus rapide, au gré des vents et des profonds buchêts. La temperature pourra monter ou même descendre, que notre avis restera tel, que votre existence n'a qu'assez durer.

La Rose Noire est lancée, et rien ne pourra l'arrêter, craignez-nous ou adorez-nous cela nous est bien égal, du reste qu'aucune de vos actions ou de vos dires, ne fera changer la dure vérité, du sol damné que nous foulons des pieds. Les géants pourront se déchainer, la terre vibrer, l'alcool et le sang couler, que nous serons là, terrés au gré d'un champ... à vous attendre ... Vous les damnés des ondes, vous qu'on gronde !

« Livre de la Rose Noire
Article I, Chapitre Premier »

Une joute à parts inégales, voilà le monde dans lequel nous vivons. A travers immondices et ribosomes, nous nous plaisons chaque jour que les animés ont daigné nous donner par leur sublime ignonimie tyranique, à adopter un peu plus la parcelle de soumission qui nous est agrée. Il ne nous est ainsi plus possible de s'exprimer que par méthaphores et effets de rhétorique souples et légers que seuls les grands de ce monde, d'un point de vue intellectuel, peuvent comprendre. Force est obligé de constater, que ceux-ci ne sont pas à la tête de la société, car sinon nos écrits dès aujourd'hui seraient effacés, par une censure abjecte, qui touche tous les ogres gangrénés, qui par manque de subtilité doivent faire face à un manque total de justice. Ô vous, appothéoses de la grandeur profonde, ne pouvez vous pas, du haut de votre piédestal, faire face à ce chaos, provoqué par la frustration de quelques irréductibles, que vous avez cru bon de mettre au pouvoir !

Force est de constater, qu'encore une fois, les erreurs, on les assume, mais on les refait sans remords, et l'on s'en accomode bien. Il ne se passe pas un jour sans qu'un abus soit prononcé. Pas un jour sans qu'on fasse étalage de son pouvoir grandissant, pour se permettre vulgarité et offenses, à l'encontre d'un simple mortel, que l'on soit, au repos, ou pas. Et oui, ceci est la dure vérité, notre société est gouvernée par des vils coquins, qui du haut de leurs chaussures bien cirées, se plaisent à maltraiter les petits de ce monde. Et les grands, que font-ils ? Ils se pavanent dans leurs privilèges omniprésents, ayant grâce d'une certaine reconnaissance de la part de ceux au pouvoir, qui les commode dans leur bêtise. Quelle infamie, une corruption frontale, mais aussi sur les côtés. Tout ceci est fini, craignez-nous, vous hauts dignitaires des animés, car votre reigne n'a que trop durer.

Vous qui prenez plaisir à remettre en place les mortels, ce dont vous faites votre sport quotidien, tel un boucher qui tripote son lard, tel un fermier qui baise sa bergère, vous qui n'avez de cesse qu'utiliser avec véhémence et méprise, des pouvoirs qui vous sont arrivés dans la main par l'idiotie frénétique de quelque être malsain. Il est grand temps de se soulever, que doit-on faire ? Se laisser marcher sur les pieds, par des choses, car elles ne méritent pas qu'on les nomme, ni même qu'on les assimile à des Hommes, qui ne pensent qu'à leur nombril, ou bien prendre sa veste à son cou, et réfuter les dons, les sacrifices, mais aussi les pardon. Les animés doivent être chatiés, et voici donc la mission première de la haute congrégation de la rose noire.

Aujourd'hui, on nous a rapporté une aggression, de la part d'une alliance sombre, face à une bête immonde crachant du feu. Celle-ci n'ayant trouvé, que meilleur argument, qu'il ne pouvait être à deux endroits à la fois, et qu'ainsi, si sa tête était d'un côté, sa queue, ne pourrait envoyer valser plus loin les quelques assaillants. Mais après tout, cette personne-ci, de quelque droit se permet-elle de se plaindre de la mission qu'elle a accepté, et de rejetter la faute d'un assault, qui aurait été commandité, quand il aurait eu soit-disant le dos tourné. Mais cet acte d'abus, si seulement, il était isolé, n'aurait fait que peu de grondeur dans notre bibliothèque, si seulement, cette acte n'était pas la floppée d'une grande série de faits tyraniques.

Mais le pire dans tout cela, c'est que si l'on s'y oppose, on est mené au parc d'attractions divin, qui du haut de son peuple disgracieux, se prône de satisfaire, tous les égards des grands de ce monde-ci bas. Les trombis laitent, mais pour autant, malgré qu'on se cache derrière des arguments malsains pour assurer une damnation juste et juxtaposé, on arrive vite à des paradoxes, où la frontière entre abus et justice rendue, s'ammoncele de plus en plus dans la même chose. Ainsi, on assimile à un manque de respect, le fait de s'opposer, mais aussi quand on s'oppose trop, on dit qu'on râle, mais quand on râle, n'est ce pas de la nature humaine de râler ? Après tout, si les coqs n'avaient pas râlés pour avoir leurs poules, n'aurions eu nous même jamais eu quelque oeuf à déguster tendrement, lors d'un langoureux et sublime repas.

Ces catins, ces vils, ces acerbes, nous menacent, nous rejettent, dès lors que l'on ose sortir du lot, et clamer haut et fort, ce que tout le monde peine à penser tout bas. Et oui, car en ce bas monde, penser est un crime, passible de peine capitale ! La dure mission commence, il faut trouver du monde, pour défendre notre volonté, d'un monde meilleur, et de gens, d'animés, de mortels, meilleurs eux aussi. Croyez, en un jour nouveau. Mais souvenez-vous, que rien n'est écrit, et que c'est vous qui écrivez votre vie.

« Livre de la Rose Noire
Article III, Chapitre Premier »

Ecarquillement soudain d’une valeur bien peu pluraliste, pourquoi n’as-tu aucun droit en ce monde ? Aujourd’hui devant nos yeux ébahits, s’est produit une malencontreuse infortune, laquelle dirons nous témoigne d’un climat reposant uniquement sur l’intêret et non la raison, la raison suprême qui guide chaque être, à une bienséance morale, et à des paradigmes acérés, qui l’aideront tout au long de son existence, existence qui sublimée tout au long des âges, nous permet de pouvoir penser, mais aujourd’hui, il n’est plus question de penser, il est question de suivre, suivre des gens, des idéaux, sans même dire ce que l’on pense vraiment, que ce soit par peur ou bien par intêret.

En effet, les gens ont peur, peur de la tyrannie décidée, appliquée, qui sanctionne ceux qui ne sont pas dans le droit chemin, la droiture étant sujette au bon vouloir de quelque être. Mais si cela était tout, nous vivrions dans une dictature tyrannique, mais ici ce n’est pas le cas. Il n’est pas question de tyrannie mais d’hypocrisie, où l’on ne dit pas ce que l’on pense au moment et où l’on ne fait que dire des contraires et des non-sens pour contenter l’ego certain de quelque petite bête violette, tout ceci pour la charmer, et obtenir des grâces en se voyant attribuer quelque surnom différent, un gdi au lieu d’un gda, et des friandises, qui goulument dans notre bouche, coulent d’un léger parfum de fraise, et nous laissent une vive couleur rose sur notre palais non contenté de ces quelques additifs.

Déchéance d’un profane, voila ceux pourquoi nous passons, ceci pour dire les faits tels qu’ils sont, au lieu de se cacher derrière des pensées mal affirmées. Aujourd’hui, il aurait été incongru de ne pas faire queue basse, et de ne pas soumettre quelque pardon, à une chienne enragée, qui du haut de sa court corrompue, ne peut qu’exiger menue rotonde, et vilénie omniprésente. Ainsi va la vie, on s’excuse et on oubli, et après tout quand on voit la réaction d’en face, on est en droit de se demander de quoi est fait le monde dans lequel nous vivons. A ceci je répondrais par une recette, celle de la terre d’argent, et de ses habitants.

Prenez une quinte de bœufs éméchées, ajoutez-y du lard, pour agglomérer. Vous obtenez un début fort apprécié. Ajoutez-y des echalottes, avec des petits oignons, mettez-y de la tomate, fruit très apprécié des gourmets, vous obtenez alors une pâte douce, qui fond sur la langue, en un exquis méli-mélo de goûts et saveurs, fruitées, acides, amêres et sucrées. Puis vint la multitude, et tout fut pourri, on fabriqua à la chaine ce bon mélange, pour se retrouver au final avec des mélanges disparates. On tenta d’engager, des maitres d’œuvres fins gourmets, mais du haut de leurs chevilles, ils ne purent qu’accellerer, la damnation programmée.

On essaye alors de passer à autre chose, on tente une nouvelle recette, on l’appellera la deuxième recette, nom si doux et moelleux, pour un si tendre croustillant, sur papier dumoins. Car en vérité c’est tout autre, on lance le marché en vitesse, on est pris de court, et au final, ce n’est pas prêt, ca ne coule pas sur la langue, ca racle et même quelques fois, ca coupe. C’est mal cuit, trop cuit par endroits, et pas assez par d’autres. Mais pour autant, on garde ouvrage, et on laisse mijoter en attendant de trouver meilleur arrangement.

Vient ensuite, les produtis dérivés, les biberons à la cire d’abeille, les cornichons, aux doux gouts de poivrons, des rouges, des verts et des jaunes. Ces mélanges acerbes et ragoutants, nous sont servis par salve, dans notre assiette, et ceci de maniêre forcée, en promettant aux plus généreux, quelque don facétieux d’un quelquonque repas, plein d’entrain et de goût, dans ce mélange si peu subtil et vulgaire, ne sachant mettre en cause, que la nature humaine, le sexe et la bière. Il faut donc prendre résolution, et noter chaque jour, sur un petit papier, ce que nous croyons bon, pour gager de nouvelle recette, qui serait prendre meilleur habit, de cet acte de louange, de cet acte gustatif.

Telle une rose sur un tremplin, ils sauront si l’on se concentre, illuminer nos vies et nos atttaits, illuminer nos cheminées et nos maisonettes, pour dormir sur nos deux oreilles, d’un monde meilleur et sans apparât, qui d’un gaï et vilain essort, se plait à torturer nos ames, d’un chagrin profiteur, et de quelque immonde mauvaise humeur. Apres tout quelle délicate fricative, que de se sentir bien chez soit, dans un environnement buccolique et calme, sentant bon la gaité et l’oiesiveté.

« Livre de la Rose Noire
Article IV, Chapitre Premier »


::: HRP :::

- Pseudo ?
Capcha

- Sexe ?
Gros !

- Caractéristiques ?
Constitution : 168 +0
Force : 10 +5
Agilité : 10 +0
Intelligence : 100 +106

- Niveau ?
51

- Equipement ?
Pendentif du pouvoir
Armure de neptune
Bouclier de neptune
Dague de la sorcière
Botte de neptune

- Lieu d'élevage ?
Oh eh bien j'en change sans cesse étant donné ma rapide progression, inutile donc de vous le dire

- Pourquoi rejoindre la DA ?
La DA, c'est contre le djin. Le Djin, c'est caca, c'est du caca, et c'est de la crotte, à l'état de crottin réuni. Donc, la DA c'est pas du caca, car les cacas s'attaquent pas entre eux. Moi pas aimer caca, même si moi passer temps à le ramasser sur santéria. Ainsi, moi vouloir devenir DA. (Joli Sophisme n'est ce pas ?=)

- Pourquoi nous devrions te prendre ?
Parceque je pue, que je sais parler, m'exprimer, et qu'un orateur est un atout non négligeable. Je suis aussi soigneur, à mes heures perdues. Et je compte aider du plus que je peux la DA.

- Seras-tu fidèle ?
Comme je suis fidéle à mon PQ, et oui je prend toujours le même depuis des années.

- Crois-tu pouvoir venir sur le forum régulièrement ?
Y'a qu'a me voir sur le forum de sw, j'y suis tout le temps, alors no problemo.

- Peux-tu décrire en une page word minimun ton personnage ?
Mon personnage ? En une page word, non je sais pas. J'arrive pas à faire des rp egocentriques centrés sur mon nombril. Forgive me.

- Tes anciens clans ? Les raisons de ton départ ?
Oh, beh en fait y'a que eu la rose noire, et elle a été dissoute.
Et sinon les BA, j'ai pris la décision de postuler y'a deux jours, mais c'est pas mon truc... Alors je postule ici

[Joojo]

De toute façon la BA est aussi active ici
_________________
Qui s'endort avec le cul qui gratte se réveille avec le doigt qui pu.

[gscorpio]

Il me fait penser a Urgaya ce petit la ...

De bien belles paroles et un humour assez marqué ...

Enfin soit ...Bonnes chance tout de même
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Guerrier au corp pure et a l'âme sanguinaire !


Vive la Dark-Alliance .

[Capcha]

Mouais ... Bon je dois le prendre comme un compliment ?

[Dedebob78]

Capcha : ton rp est super et tout et tout, et quand on c'est parlé sur le mini, j'ai eu l'impression que tu me connaissais ? Donc je supose que tu est une reincarnation Va savoir de qui ! (gscorpio as peut etre raison, peut etre tort ...)

Bref attendons l'avis de pilou
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[Cisou]

Très bon RP.
J'espère que l'avis de Pilou te sera favorable.
_________________
Nouvellement Leloof...

[the elfe of nowhere]

j'adore aussi ton rp ^^

[Claudio]

Hum peux-tu me dire quel est ce clan destiné à se moquer des djin's en les plagiant dont tu fais partie ? (Eh oui, je lis aussi bcp le mini^^)

perso, si je les tappe, je n'admet pas ce genre de moquerie par le plagiat, je ne trouve pas ça 'correct'. Imagine-toi ce que ce serait si cela devait t'arriver : tu n'aimerais pas trop

Donc supprime ce clan à la rien à voir ^^

(j'ai beau les tapper, il y a des djins que je respecte^^)
_________________
Là où est le vent.

[Capcha]

Attend de voir avant de dire que c'est de l'irrespect...

[Claudio]

J'ai pas dit que c'était de l'irespect, juste que je ne trouvait pas ça 'correct'

Mais si tu as des arguments pour étayer ce que tu avances, je suis tout ouï àles entendre...
_________________
Là où est le vent.

[Capcha]

Je compte avec mes quelques camarades, leur macher leur rp, tout en le ridiculisant. En gros, je vais faire un rp, bien éttoffé, ou je mettrais : C'est nous les gin's, on fait caca partout. On est un grand clan. On est plein de cerveaux. On est les meilleurs.

bla bla bla...

Eux ridiculisent par la merde, moi je ridiculise par les dires...

A voir qui est le plus respectueux...

[Joojo]

Tient tu as déjà un clan?

Capcha
-Gin's Chanobli- -=AKCuTski=-
_________________
Qui s'endort avec le cul qui gratte se réveille avec le doigt qui pu.

[Capcha]

C'est pas un clan ca ^^

C'est un truc que j'ai crée en attente d'être recruté par un autre clan ...

(Et un ami m'aide un peu à avoir de bons équipements, d'ou l'utilité de ce clan. )

[p@ill@din]

il est clair que vu ta présence sur le mini et le forum tu est un réincarnation et j'aimerais bien savoir par mp de qui avant de prendre tout décision. On a bien prit la réincarnationd de menfou ca peut pas etre pire lol
_________________

[Ilhy]

*fouette Pilou *