Poèmes pour Ilhy

[Claudio]

(Hrp : Ne postez pas à la suite, svp. Merci)


Illuminé par sa grâce naturelle,
Lisant au plus profond de mon coeur.
Heureux de ne contempler qu'elle,
Yeux noisettes riants de mes peurs.


Au piège, mon coeur s'est pris,
Et loin de vouloir l'en sortir,
Je m'y enfonce avec plaisir.
Ame éternelle reste avec Ilhy.


Comme une colombe s'envolant pour le ciel
Mon coeur s'est perdu dans le lac de tes yeux
Comme le murmure du vent à travers les arbres
Mon souffle s'est tu pour t'écouter
Comme le chant des oiseaux au lever du soleil
Ton rire cristallin a retentit à mes oreilles
Comme un chêne millénaire domine la vallée
Ta sagesse m'a rendu meilleur.


Par delà les collines, j’ai rêvé
Une pluie d’or et d’argent
Embrasait le ciel illuminé
Par delà les montagnes d’antan
Un amour infini, j’ai souhaité.

Par delà les forêts, j’ai pleuré
L’âme et le cœur en peine
Une faiblesse, de moi, s’est emparée
Par delà mon corps et sa haine
Un pardon, j’ai espéré.


Douleurs :

Mon âme tourmentée
Mon coeur déchiré
Dans mon corps en douleur
Souffle un vent de malheur.

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Là où est le vent.

[Claudio]

Hurlements de peurs et cris de malheurs
Corps éprouvés baignant dans des mares de sang
Rages démentes soumises au temps
Cœur de pierre et âme farouche torturés.


Lumière lointaine et éblouissante
Noirceur évanouie par les couleurs
Cœur immortel et âme vaillante
Réveillez les souvenirs du bonheur.


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Là où est le vent.

[Claudio]

Comme le chant du pinson
Me réveillant au petit jour
Comme ton rire cristallin
Evoquant tant de souvenirs
Comme une nuit volée
Dans le parfum de tes rêves
Comme un vol de tourterelles
Egayant l’azur du ciel
Comme une fleur au printemps
S’épanouissant de mille feux
Comme mon cœur s’enflammant
Au moindre son de ta voix
Comme les champs de blé
Me rappelant tes cheveux
Comme la grâce de ton corps
Subjuguant mes sens
Comme l’amour qui m’anime
Tout entier, je t’appartiens.


Sur le mont Stormy, j’ai pleuré
Abattu et perdu dans ma douleur
Ma jeunesse et mon amour envolés
Sort injuste en ce jour de malheur

Mal et démons s’en sont emparés
Corps et âme entièrement dévoués
Fureur démente, meurtres et blessés
Dans la fenêtre des abysses bleutées
Où pour un temps, j’ai sombré.

Dans l’ombre et la lumière
Une Grâce aux mille feux
Cassa mon cœur de pierre
Et m’envoûta de ses yeux

Amour perdu et retrouvé
Des griffes de la mort
Par ton souvenir m’a sauvé
Réveillant à la vie mon corps.





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Là où est le vent.