Postulant Mats

[Mats]

Je n'y suis pas encore... mais cela ne saurait tarder j'espère. Merci!

[Shermix]

je savais que ca venait de toi ^^
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Membre du Dispensaire de La Croix d'Argent

[Mats]

Kelemvor,
j'ai tes objets. Je peux me connecter quand tu veux aujourd'hui (avec 2h de délai). merci

[Kelemvor]

Mats on peut faire ça now, en B4 map2
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Kelemvor le dieu des morts ;o)
Seigneur (et saigneur) de la //Dark-Alliance\\

[Mats]

je te recontacte sur SW directement.

[Mats]

Voilà, j'ai donné à Kelemvor les objets demandés.

[Mats]

Bonsoir
quelqu'un peut-il me donner accès au rez-de-chaussée?

Merci

[leko]

Salut Mats,
Tu auras accès à cette partie du forum une fois que tu seras passé en Sky Lords.
Tu as accès par contre à la gallerie des combats.
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Artiste de la mise à mort.

[Mats]

OK, merci!

[Mats]

A la demande de Kelemvor, voici un nouvel extrait de mon journal:

Quelques semaines plus tard, je pu reprendre mon journal, et y noter les événements qui venaient de se dérouler… Les voici.

J’avais été autorisé à passer les épreuves de sélection, à démontrer que par-delà l’inconscience qui avait été la mienne de penser être digne de ce clan, je l’étais peut-être effectivement.

La première épreuve me fut énoncée par le grand, le célèbre Shermix :
« Il y a quelques mois de cela je me suis baladé sur les Terres d’Argent sans rien rechercher précisément. Puis me disant que je n’avais jamais été à la découverte d’une chose, je me suis rendu dans un lieu de discussion, lieu appartenant à une guilde réputée.
Une réputation pas toujours bonne à cause, entre autre, de l’isolement qu’ils ont et leur rapidité d’évolution.
Dans ce lieu de discussion je leur demande quelque chose. Qu’est-ce que cette chose ? »

Ainsi donc la première épreuve allait m’obliger à m’intéresser aux autres guildes. Etait-ce un moyen pour me forcer à réfléchir à mes motivations, à comparer la profession de foi de chacune, une dernière chance de changer d’avis ? Peu importe. J’allais devoir faire abstraction de ma méconnaissance des réputations attachées aux une ou aux autres et pour ce faire étudier systématiquement tout ce qui avait trait aux vingt-six plus grandes guildes. Pourquoi vingt-six ? Il fallait bien se fixer une limite et rien ne m’empêcherait de l’étendre par la suite si nécessaire.

Dans un premier temps il me fallait découvrir le nom de l’esprit de mémoire de chaque guilde. Je m’isolais et organisais le rituel permettant d’interroger les esprits. Pendant deux semaines, sans cesse je leur posais toujours les mêmes questions : « Connaissez-vous telle ou telle personne ? » en citant le nom des membres de la guilde qui m’intéressait alors, puis ayant identifié l’esprit de mémoire de cette guilde, je posais les questions finales : « Connaissez-vous ou avez-vous connu un homme nommé Shermix ? A-t-il laissé une trace chez vous ?»

Hélas, le temps passait, les réponses étaient confuses, soit ils ne le connaissaient pas, soit ils ne voulaient pas révéler les secrets de leur guilde. Puisque les esprits mémoire ne voulait pas parler, je me tournais vers les chefs de ces guildes et leur posait directement les questions. Bien entendu tous ne répondirent pas. Ceux qui le firent furent très aimables, cherchant à m’aider dans ma quête. Mais aucun ne su m’aider.

Je résolu de demander une aide à un grand maître des Dark Alliance. Celui-ci me dit de revérifier les classements. Ainsi il m’incitait à persévérer. Puisque les chefs de clan ne se souvenaient pas, il ne me restait plus qu’à me renseigner par moi-même. Aussi demandais-je à beaucoup le droit d’entrer dans leur lieu de parole. Et ce fut alors l’éclaircissement, après plusieurs semaines de recherche la réponse était là devant moi : « le meilleur élixir du tavernier du clan Le règne des dragons ».

La seconde épreuve fut plus simple mais plus dangereuse en revanche, je devais rapporter 5 fourrure de fourreux, 3 écailles de dragon d’or et 2 cornes de licorne.

Ainsi donc, moi qui n’avait jamais quitté Baduk, je devais aller plus loin encore que Kedok, sur Boudok ! Allant à l’encontre de ma prudence innée, je devais quitter les terres connues, pour découvrir et affronter de nouveaux territoires, de nouveaux monstres, plus puissants, plus résistants, plus intelligents, en résumé bien plus dangereux que ce que je connaissais jusqu’alors. Cette épreuve, comme la précédente, me faisait sortir de mes habitudes. Mais justement, c’était bien ce que j’étais venu chercher dans un clan, non ?

Après un temps de préparation passé à me documenter auprès d’anciens sur les dangers de Boudok, les écouter parler des monstres qui peuplent cette terre, à démêler le vrai du faux, à éliminer l’exagération due aux ans ou à la peur, mais également à copier leurs cartes, je partis le sac plein de potions et de provisions.

Ma première impression fut que je me retrouvais bien plus seul que sur Baduk ; il y avait bien des monstres, ils étaient bien là où on me l’avait dit, mais, alors que sur Baduk on ne pouvait pas éviter de rencontrer des aventuriers en tout endroit, ici ils se faisaient très discrets. Etait-ce par prudence ? Cette terre était-elle si dangereuse qu’ils l’avaient fuite ? Etaient-ce les monstres ou bien les tueurs, ces aventuriers dégénérés, préférant attaquer leurs semblables qu’affronter la faune et la flore des Terres Argentées? Enfin, j’arrêtais de me mettre martel en tête, et je me mis en marche.

J’atteignais rapidement mon premier objectif, n’ayant pas eu trop à souffrir des démons terrifiants, archanges et buffles vaudoux. Mais les fourreux, c’était une autre histoire ! Je piégeais le premier avec un peu de viande empoisonnée, puis j’abattus le second alors qu’il s’attaquait à la dépouille de son camarade. C’est alors que je découvris que ces bestioles étaient plutôt intelligentes. Les autres m’avaient observé faire, je le suppose, car elles ne s’approchèrent plus de ma viande empoisonnée par la suite. Je dus donc les traquer dans les bois, sur leur terrain. Mais la succès fût là, avec un peu de chance aussi je me dois de le dire. Une fois découverte la rivière à laquelle ils allaient boire, je résolu d’attendre leur venue et de les attaquer face à face. Ce fut rapidement fait.

Que me réservaient les licornes ? On me les avait décrites comme encore plus intelligentes que les fourreux. Avec elles je dus faire preuve de patience, me cachant pendant des jours dans une grotte, avant d’en voir passer un couple à proximité. J’avais déposé mon havresac afin d’être plus léger. Bien sur, je l’avais recouvert de pierres afin de le dissimuler et de ne pas risquer de me faire voler par les bêtes à 2 ou 4 pattes. Lorsque je me fus approché des licornes, je ne pus m’empêcher d’être fasciné par la beauté de leur corne et de leur robe, par la grâce de leur démarche… A tel point qu’elles disparurent sans que j’eusse pu esquisser un geste. J’allais retourner tête basse à ma grotte, lorsque soudain je me fis attaquer par une licorne à ma droite et par une autre à ma gauche ! Etaient-ce les mêmes ? Je le suppose. Elles m’avaient certainement senti, entendu ou bien deviné, que sais-je ? Enfin, le temps n’était plus aux questions, je n’étais plus le chasseur mais le chassé ! L’avantage était clairement de leur côté. A deux contre 1. Et encore, là où j’avais une simple hache de Béhémoth, elles avaient 4 sabots et une corne ! Il était hors de question de rester à découvert, en plaine, ou à flanc de coteau.

Voilà pourquoi, des heures durant, je bataillais dans les sous-bois utilisant les arbres comme protection et mon épée comme pique. J’avais tout oublié de leur beauté. Je ne voyais plus en elles que des ennemis à combattre. Ma survie passait par leur trépas. Lorsque l’une d’entre-elles passait à proximité en cherchant à m’embrocher, je tournais autour de l’arbre et frappait par derrière. Lorsque la deuxième venait à la rescousse, je plongeais dans un buisson ou grimpais dans un arbre. Elles se fatiguèrent, heureusement, plus vite que moi et je pus tuer ma première licorne. Le soleil jetait ses dernières lueurs orangées lorsque j’atteins mortellement la seconde. Je prélevais mes trophées, puis regagnais ma grotte d’un pas lourd, plus fatigué que je ne l’avais été depuis des années. Je m’assoupis sans me restaurer, sans établir de protection particulière, à la merci de tous…

Le lendemain et le surlendemain, je restais dans ma grotte pour reprendre des forces, je me doutais bien que la suite n’allait pas être plus aisée. J’avais ainsi ordonné les monstres à affronter et jusqu’à maintenant je ne le regrettais pas. Puis il me fallut abandonner mon antre maintenant familier pour à nouveau affronter des monstres inconnus. Je réussis à passer sans trop de mal les mammouths terrifiants et les requins sanguinaires.

Le bruit de la mer m’avertis bientôt que je m’approchais du territoire des monstres marins et des dragons. J’avais résolu d’établir cette fois mon campement dans la ville de Watergate afin de pouvoir m’approvisionner d’autant de potions que nécessaire. D’ailleurs je commençais à être à court. Mais pour cela, il fallait d’abord passer des dragons mauves. Je n’en avais encore jamais approché, mais les dragons noirs, bleus et verts que j’avais rencontrés ne me laissaient guère d’espoir quant à une éventuelle faiblesse de leur part. Aussi je décidais de construire un mini radeau, trop petit pour monter dessus, mais assez grand pour y déposer mes affaires. Le camouflant avec des feuillages et des algues, je le mis à l’eau et me cachais dessous. En effet, un espace permettait d’y loger la tête et d’y respirer. J’avais observé les périodes de flux et de reflux et savais quand le courant me serait favorable. C’est ainsi que je parvins à Watergate sans trop souffrir des dragons mauves.

La dernière partie de cette épreuve m’attendait. La plus difficile certainement : 6 dragons d’or défendant en permanence l’entrée du Labyrinthe maudit. Ici point de ruse possible, le terrain ne le permettant pas. Mon seul espoir était qu’ils n’aient pas oublié la règle ancestrale, passée entre les dragons et les humains lors des Guerres Nobles : « Au défi, seul tu répondras ! ». Ainsi si je parvenais à lancer un défi à un dragon, les autres seraient obligés de nous laisser combattre sans intervenir. L’avantage était évident, l’inconvénient aussi ; ils allaient pouvoir observer mes points faibles et les utiliser quand viendrait leur tour. Enfin, si venait leur tour.

(à suivre)

[Kelemvor]

oula ^^

un texte aéré serait plus agréable à lire, même si ce que j'ai déjà lu est pas mal du tout ^^
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Kelemvor le dieu des morts ;o)
Seigneur (et saigneur) de la //Dark-Alliance\\

[Tidus]

je partages l'avis de Kelemvor mais c'est vrai que tu as fait du bon boulot

[Buzz]

Beau effort et même avis que Kelem
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Membre des Bleus

[Mats]

En fait, cela donnait bien sous Word. La mise en page est effectivement bien alourdie par la largeur de la page ici.

Voilà, j'ai fait quelques retouches.

[Kelemvor]

hé ben je dis chapeau !!!

Super bien écrit, riche en termes moins courants et recherchés, orthographe soignée, tournure de phrase non commune.

Rien à redire si ce n'est que j'attends la suite de tes aventures.

Pour ma part tu as ton tiquet d'entrée en DASL. (si tu promets d'écrire la suite :p)

Bonne continuation à toi et continue ainsi
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Kelemvor le dieu des morts ;o)
Seigneur (et saigneur) de la //Dark-Alliance\\