Le newbie

[Traknogal]

Un jeune homme, paré de ses plus beaux atours arriva devant la porte de la forteresse, la taille de la porte était infiniment grande par rapport a son infinie petitesse.
Il l'ouvrit d'une main tremblante, mais entra d'un pas assuré. Il suivi les panneaux qui indiquaient la direction à suivre.
Il rencontra plusieurs personnes mais ne dit aucun mot, sa bouche ne s'ouvris que devant le formulaire d'incription.
Portant une main à son front apres avoir lu la première close du contrat, la page de son histoire. Il l'avait oublié ... à l'auberge située à quelques kilomètres d'ici. Il prit un papier de sa poche et avec sa plume magique, il se mit à écrire son histoire. La position dans laquelle il se trouvait était assez inconfortable mais il ne voulait pas rebrousser chemin.
Il toqua la porte, rien. Il réessaya, toujours rien. Il ouvris tout de même la porte en bois massif d'une main assurée mais entra d'un pied tremblant.
Il vit une chaise et s'assit dessus. Il relit son message où était écrit dessus :

Nom : Traknogal
Sexe: oui j'en ai un
Caractéristiques : Je suis jeune, j'ai une cicatrice dans le dos, Je suis fort (60 en force), je suis encore plus agile (70 en agilité), ma resistance est plutot bonne (43 en consitution) et mon intelligence n'a rien a envier aux autres (40 en intelligence)
Mon niveau : J'ai de bonne compétence dans la magie mais je suis plus puissant au sabre (niveau 36)
Équipement : Je suis équipé d'une massue lourde des rois (hé oui je n'ai pas de sabre pour le moment), d'une armure, de bottes, d'un bouclier et d'une couronne du phoenix et pour finir, d'un pendentif de force.
Lieu délevage: Je ne suis pas un berger ! Je suis un guerrier ! (Je tue des requins)
Pourquoi rejoindre la DA ?: Paske vous avez une bonne réputation et j'aime les gens de caractères.
Pourquoi devrions nous te prendre ?: Paske j'ai tout d'un bon guerrier et que j'ai en tout cas envie de le devenir.
Seras-tu fidèle ?: Plus qu'un chien
Crois tu pouvoir venir régulièrement sur le forum ?: Je ne le crois pas, j'en suis sûr.
Mon histoooiiire !! :

Une chose débute par la fin d’une autre.

Cette phrase résume le commencement de ma vie et la fin de celle de mon père.

L’ancêtre de mon village méritait son nom, personne n’a vécu assez longtemps pour connaître sa vie, que par bribes, il raconte au village, le soir, lors des veillées.

J’aime l’entendre parler d’histoires faramineuses racontant la vie des héros du passé, mais pas seulement des héros, aussi des hommes qui pourraient être considéré comme tels mais qui dans leurs vies, n’ont réussi qu’un exploit. Dans la mienne tout se passe bien, les oiseaux chantent, les bêtes dans les pâtures s’accouplent, les femmes aussi, mais ce qu’il s’est passé avant ma naissance, personne ne le sait ou personne ne veut refouler cette histoire, ce qui veut dire qu’elle est forcément mauvaise.

Le fleuriste du village m’élève. Mes premiers souvenirs sont en sa présence et mes meilleurs moments sont avec lui. Tout le monde se moque de lui, raillant que son métier n’est fait que pour les femmes, mais tout le monde l’accepte car sa bonté est aussi grande que la beauté de ses fleurs.

Je suis jeune et comme tout les jeunes je pose des questions désobligeantes, la première que je posa fut : « Comment on fait l’amour ?» et la première réponse fut : « Je ne sais pas … », ce qui me surpris, mais je ne voulais pas insister, car il était perdu dans sa rêverie.

Je ne vous l’ai pas dit mais je m’appel Traknogal, les habitants du villages trouvent ce nom bizarre mais ils disent que je le porte bien. Ils me surnomment Trak’ car Traknogal est un peu long à dire.

Mes proches, il faut dire que je n’en ai pas beaucoup, sont tous des garçons et chacun d’eux a déjà connu l’amour, j’aurai voulu savoir ce que ça fait mais ce ne doit pas être facile à raconter.

Le cri de coq à l’aube me réveilla, et je n’étais pas le seul, on vit m^me une pantoufle voler en direction de ce pauvre animal qui ne fait que son boulot, et moi d’ailleurs il fallait que je m’y mette.
J’ai toujours été pacifique, mais lorsque le besoin se montrait, je me démenais avec la furie d’un berserk et pour apprendre à contrôler cette furie, mon tuteur me faisait prendre des leçons de sabre que je réussissais particulièrement.
Mon maître d’arme n’avait pas d’identité, il travaillait avec un faible salaire, voire inexistant. Sa voix calme et grave me sermonnait sur la façon de traverser la garde d’un adversaire et de parer toutes éventualités contraires.

« - Plus haut la garde, cria-t-il. N’oublie pas ton pied, son emplacement est déterminant dans un combat.
- Je fais ce que je peux, lui répondais-je. Je suis épuisé, mes bras tombent, mes jambes ne bougent plus.
- Épuisé ? Foutaise ! Ce n’est que dans ta tête, tu dois t’efforcer de ne plus y penser ! Ca ne fait qu’une heure que tu combats, si tu ne peux pas faire plus, tu es un faible. »

Ces mots me remirent d’aplomb, ma solitude devait se compenser par l’excellence d’un de mes domaines. Je soulevai mon sabre, tentant un coup d’estoc, qu’il parât et qu’il contrât d’un coup de pied qui me fit lâcher mon arme. Si je me baissais pour la reprendre, je serai à sa merci, si je reculais, il prendrait le dessus. J’optai pour un saut suivi d’une roulade qui me permettrait de l’attraper.

Je pris mon élan et mes pieds se prirent. Je tombai. Je n’eu même pas le temps de me protéger, mon nez fit le bruit d’une biscotte qu’on écrase et la pointe froide de l’épée de mon maître sur ma nuque me fit frissonner.
Je pleurai de douleur et de ressentiment, même si ce n’était pas la première fois qu’il me battait à plate couture.

Il me tendit une tasse de chocolat chaud, je compris qu’il m’avait transporté jusqu’à son « chez lui », la cabane en plein milieu de la clairière de la forêt.

Mes progrès augmentaient à vue d’œil, mais cela ne suffisait pas. Il avait revêtit son chemisier bleu des fêtes, son pantalon a rayures bleues et marron, horizontales, je devinais qu’il allait faire un tour en ville, mais je lui posai quand même la question :

« - Vous avez mis vos plus beaux atours, allez vous à un rendez-vous ?
- C’est le Jour de la Mère aujourd’hui, lâcha-t-il »
Le Jour de la Mère ? Comment avais-je pu oublier ? Je voulu me lever, il m’intima de rester couché.
« - Je veux y aller ! Je ne veux pas finir célibataire ! Je ne veux pas devenir comme vous ! »

Et comme toujours, je parlais trop, il me foudroya du regard et s’en alla sans rien dire. Depuis aussi longtemps qu’on le connaisse, on ne l’avait jamais vu avec une fille, mais il ne faisait pas exprès, c’était la cicatrice oblique sur son visage qui repoussait les femmes.

Dans un effort soudain, je put me mettre debout, je couru chez le jardinier pour prendre mes plus belles affaires et me diriger vers le centre de la ville.

J’arrivais, c’était les banderoles bleues et roses qui me l’indiquaient. Le Jour de la Mère était une fête rurale qui consistait à faire des rencontres, pour se marier et avoir des enfants d’où le ce nom.

Le bleu était le représentant des garçons et le rose celui des filles. Même les grands-mères se prêtaient au jeu. C’était la fête qu’il ne fallait pas rater.

Certains revenaient quasiment bredouille, ils se contentaient de voir des beaux jeunes hommes et des belles jeunes femmes, qui dansaient et paradait du matin jusqu’au soir, mais le moment le plus attendu était celui du banquet. Le village qui organisait la fête devait faire des collectes de dons pour ne pas être en faillite tellement les plats étaient soigneusement préparés et en nombres.

Le souffle court, je venais de trouver une place sur la large table qui prenait toute la rue principale, c’était la plus convoitée des trois qu’il y avait car c’est là que les couples formés se réunissaient.



Mon histoire n'est pas fini car je ne suis pas encore mort !

Tes anciens clans ? Les raisons de ton départ ?: Aucun !

Sur ce je vous salue.


Le jeune homme pensait que la fin du message ne faisait pas conforme, il l'effaca et la remplaça par : "Veuillez agréer Messieurs et Mesdames Mes sentiments les plus distingués"
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"Dans une hutte on a grandits, depuis tout jeune on s'prend des gnons ! L'acier tranchant c'est notre vie ! Et nos loisir c'est la baston !"
POOOKIES POWAAAAAA

[ToMaToSeL]

Ooooh Mais Qui Voilà ? =D
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Slipping amongst the shadows, flitting between dark places, always quiet...

[Nibor Laomel]

Haha, il sent le pochtron et la bonne humeur de loin. Depeche toi P@ill, j'ai envie de voir celui la à l'oeuvre!!^^
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Qui..qui..qui me parle??

[Nibor Laomel]

J'ai hate de voir comment le boss va te juger...
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Qui..qui..qui me parle??

[p@ill@din]

avec séverité cela c'est sur
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[Traknogal]

Heuresement que dans cette salle d'attente un peu froide, l'aura réconfortante ce Monsieur Nibor Laomel me réchauffait.

J'attendais en sa compagnie même si les échanges de paroles étaient plutot rares vu ma timiditée croissante.

Elle ne fit que s'accentuer lorsque Monsieur Skies, après m'avoir arraché la feuille des mains, me félécita de ma vie bien mouvementée et repartit.
Il fallait que j'apprenne vite les noms car si j'était pris, et tout le monde sait que c'est pire qu'un concour, il ne fallait pas que je soit paumé.

Cette petite chaise en bois était l'incorfotabilitée même, peut être était-ce pour tester mon endurance, mais a l'interieur de moi je rêvais d'un bon petit coussin moelleux et d'un bon chocolat chaud pour me remettre.
Je restais et j'attendais
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"Dans une hutte on a grandits, depuis tout jeune on s'prend des gnons ! L'acier tranchant c'est notre vie ! Et nos loisir c'est la baston !"
POOOKIES POWAAAAAA

[Nibor Laomel]

*Nibor eut une petite frayeur en voyant son ami apparaitre dans son dos comme cela...*

" comme d'hab quoi..."
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Qui..qui..qui me parle??

[Traknogal]

Sans que je le vois, le ministre des recrutements était apparu et m'avait semblé du premier regard, sadique, et ses paroles confirmèrent mes doutes.
Je vais tous mourir !!!
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[Nibor Laomel]

*Nibor se tourna vers Skies...*

"eeeuhhh, ca veux dire quelque chose je vais tous mourir ou il l'a fais expres?.....mouais, deuxieme solution j'espere pour lui...."

*Et ils exploserent de rire dans leur coin à la vue du pti gars qui se demontai les fesses sur leur chaise*
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Qui..qui..qui me parle??

[Traknogal]

Quand je vu les deux monsieur s'esclaffer de rire j'eu un pressentiment. Il rigolait de ma facon de parler ?
J'allait accepter cette humiliation jusqu'a ce que je sois pris et que même si je suis plus petit mon pied ira assez haut pour leur botter les fesses
Mais pour le moment c'était des pseudo larmes qui me montaient au visage, petu-être a cause du froid et du vent regnant dans cette maudite salle
Vivement le jour où ils achèteront ce que l'on apelle une cheminée, mais je pense que pour des guerriers endurci comme eux, se réchauffer c'est comme être lâche, c'est pas bien.
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[p@ill@din]

[hrp] nibor continue ca me plait bien je modifierai mon post et certain ici pour le rendre plus rp [/hrp]
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[sokaris]

*Sokaris passa devant le bureau des candidatures par pur hasard....en effet il se trouve que le guerrier assoifé par son dur voyage de retour allait se désaltérer à la taverne en compagnie de quelques amis*

-Miséricorde, j'ai l'impression que plus j'ai soif plus la taverne est loin dans cette foutue forteresse....en plus sur le chemin venant de Dusso pas une auberge n'était ouverte...à croire que je suis maudit....

*Sur ces propos le guerrier s'arrêta quelques minutes plus tard....une forte odeur de vinasse s'échappait des alentours...*

-Bizarre la taverne est encore à 3 couloirs d'ici...et je sens déjà le breuvage qui m'apelle?....peut être est-ce une illusion? j'ai sûrement trop soif pour avoir les yeux en face des trous ou plutôt les narines en face du nez...

*Il suivit l'odeur de la vinasse tiède tout juste sortie d'un tonneau....rien que d'y penser ces pensées le firent conduire devant le bureau des candidatures devant lequel il était passé quelques minutes plus tôt...*

-Tiens qu'est-ce que je fiche là moi c'est le bureau des candidatures....ca va pas mieux moi faut que j'arrête de boire de l'eau ca me réussit pas....

*Cependant l'odeur ce fit plus forte lorsqu'il colla son nez sur le chambranl de la porte.....la porte qui était vérouillée et qui plus est...superbement bien isolée...*

-Ca alors c'est étonnant qu'une telle odeur se fait sentir alors que la porte est plus isolée que la porte de l'infirmerie...

*Sokaris plus que curieux de savoir ce qui se trouvait derrière cette porte se recula de trois pas... et pensa à tous les tonneaux que pilou avait planqué dans son bureau pour sa conso personnelle.En un sursaut d'orgueil et de filouterie il s'élança en direction de la porte.
Quelle ne fût pas sa surprise en dégringolant cul par dessus tête et atterrir dans le bureau de paill....
Ce dernier le dévisageait d'une telle manière que Sokaris n'osait même plus bouger un cil....*

-Heu désolé paill...je pensais que...

*Le guerrier regarda la nouvelle recrue ....s'approcha....et comme guidé par une odeur plus que forte de vin chaud et d'hydromel le renifla*

-AAAAAAAAhhhhhh c'était ca l'odeur...oui donc euh comme je disais désolé pilou je pensais que c'était tes reserves de vin qui sentaient autant et comme j'avais très soif je me suis dis "pourquoi ne pas s'arrêter? et aller à la taverne plus tard" ^^Alors je suis surpris de te voir ici,enfin je veux dire pas ici ICI parce que c'est normal c'est ton bureau mais euh ici quoi...enfin tu me comprends.... enfin bon tant que je suis là je tiens à donner mon avis sur le jeune homme.....

*Sokaris vis paill qui virait au rouge vif et se dit qu'il était temps pour lui d'aller boire un coup à la taverne*

-Bon ben je vais vou laissaiiiiiit... je suis sûr que vous avez pleins de choses à vous dire^^enfin bon bonne chance à toi en tout cas ^^

*Sokaris fit trois pas en arrière et se glissa par l'entrebaillement de la porte comme une anguille qui cherche à sauver sa peau entre les doigts du pêcheur.L'erreur monumental qu'il ne fallait pas commettre fût commise lorsque quelques secondes plus tard Sokaris repointa le bout de son nez par la porte restée ouverte et eut le don d'ajouter:*

-Tu m'as pas l'air bien ces temps ci tu as de la fièvre?? t'es tout rouge...tu veux que je te ramène quelques chose à boire?

*Et avec un syncronisation parfaite avec sa voix qui portait dans toute la forteresse en disant " Dégage de là!!!!GROUILLE TOI!!!!!!!!!!! pilou lui donna de l'élan à grand coup de pieds dans le train...
en le priant avec toutes les distinctions possible et imaginables de noms d'oiseaux(que parfois même un ornithologue chevronné ne pourrait connaitre) de débarasser le plancher au plus vite*




[Hrp] désolé de ne pas avoir continuer le RP mais j'avais commencait à écrire avant le premier message de pilou donc ca n'as rien à voir avec le RP déjà commençait [/Hrp]
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[Traknogal]

[hrp] Pô grave Mr sokaris, mais je me demande bien ce qui sent le vin et l'hydromel ^^ [/hrp]

Après avoir vu le guerrier assoifé se faire botter par un ministre empoté [hrp] désolé fallait que je trouve une rime en é[/hrp], je pense que c'est son fessier qui l'a sauvé de ce machinal coup de pied.

Dès que l'entretient sera fini, et surtout si je suis pris, je sens que je vais passer ma vie, dans la taverne, assis, à côté de ce guerrier aux fesses finies.
J'espère qu'il ne font pas payer les membres, sinon ca lui ferai une belle jambe, lui qui est aussi riche qu'un mendiant appauvri.

Mais sa remarque sur son odeur de vin et d'hydromel le tourmentais, il avait beau se renifler de partout, vraiment partout, mais il ne trouvait pas d'odeur.
Peut être que Mr sokaris avait un nez autant en forme que ses fesses.

Mais peut être était-ce aussi, le bourdonnement des mes oreilles après ce cri.

Sans réponses, il continuait à attendre.
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[Traknogal]

Et voilà que maintenant un nouveau membre me rabachaît qu'il fallait que je mette une photo d'identité sur ma missive N'aurais-je le droit de rester mysterieux ?
Durant tout ce temps je pus me rapeller par bribes de moments qui se sont passé lors de ma jeunesse :

Le bal du soir se déroulait juste après le repas, pour que tout le monde ait des forces pour bouger toute la nuit. Comme tout les bals, il faut une robe pour les femmes et un smoking pour les hommes, les personnes qui n’en ont pas en demandent au chef du village qui garde toujours des costumes des années précédentes, même si ils ne sont pas en très bon état, et comme tout les bals, le prix de roi et de reine de la soirée sera décerné et le feu d’artifice clôturant la journée sera lancé.

En outre, une belle fin de journée s’annonçait, mais pour faire une histoire il faut un élément perturbateur et celui là j’aurai préféré qu’il ne vienne jamais

Rassasiés, les gens digéraient en se préparant au bal, en enfilant leurs tenues de soirée et en se parfumant à la limite du possible, sans tout autant asphyxier son partenaire. Pour l’instant, la danse était de mise, au rythme de la valse ou d’une chanson rock’n roll, d’une salsa ou de la spécialité de nos ancêtres qui ne nous amusait plus mais qui devait se faire pour honorer ceux qui ont créés cette magnifique fête.

Magnifique comme les gagnants du concours, magnifique comme les feux d’artifice éclatant de couleurs diverses et variées dans des formes tout aussi extravagantes, mais magnifique aussi comme le feu qui brûlât notre village, a cause d’un artificier qui tira trop bas.

C’était aussi beau que terrible, les flammes dansaient elles aussi d’une maison à l’autre, ne laissant que des cendres derrière elles. Du haut de la colline où nous nous étions réfugiés, nous admirions solennellement le désastre d’une pourtant si belle journée. Les seuls bâtiments restant flamboyaient d’une lumière rouge qui éclairait le ciel sombre, sans lune.

Des pleurs et des cris, voilà les derniers sons qu’on pouvait entendre. Les maris enlaçaient leurs femmes, les enfants étaient agglutinés contre leurs parents et le reste se regroupait pour se soutenir mutuellement. Les anciens rivaux étaient devenus des frères de miséricorde, les amis prouvaient leurs fidélités et des nouvelles relations se formaient.

Dès que les flammes furent éteintes, les familles se précipitaient pour récupérer les cendres d’un membre manquant. Le chef y était resté, mon cher tuteur le jardinier aussi, le Vieux avait disparu, les grandes figures du village avaient toutes péries pour sauver les personne qui leurs étaient cher.

J'inscrivis ces note sur mon parchemin qui je l'espère un joure arrrivera au ministre des recrutements
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[Killion]

Kevin arriva sur la place et vit p@ill@din tres enerver et partit le voir.
-Qu'est qui ne vas pas?
-Ce qui ne vas pas c'est toi! Pourquoi est tu venu deranger Traknogal.
Kevin repondit d'une tres ptit vois
-Bah c'est a dire que je lui est dit de mettre une identité mais bon si il veut rester mysterieux c'est son chois enfin sinon je m'excuse enver Traknogal d'avoir un peus comment dire flooder .
P@ill@din alors repondit a ces mots
-Oui c'est bon je vois que tu a compris aller va et ne recommence plus .

PS:Excuse moi Traknogal je ne recommencerai plus et pareille p@ill@din je ferai attention
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Apporte soin ! !!Vive la DA!!

Fiston de Goku