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Claudio

Inscrit le: 27 Oct 2005 Messages: 3788 Localisation: Aux côtés des Valkyries.
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Posté le: Mer Mai 03, 2006 13:27 pm
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On peut flooder encore plus, mais je crains de les choquer. Bon après tout tant pis pour eux s'il le sont. Moi je le suis pas.
*Prend Ilhy dans ses bras et la couvre de baisers. Une certaine fièvre s'empare de lui, il lui prodigue de nombreuses caresses avec sa tendresse habituelle* _________________ Là où est le vent.
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Ilhy

Inscrit le: 01 Fév 2006 Messages: 968 Localisation: à genoux devant santéria
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Posté le: Mer Mai 03, 2006 13:28 pm
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Il me semble que ta promotion te donne beaucoup d'aisance maintenant * se dégage de ses bras*....va falloir faire preuve de moins d'assurances avec moi !
non mais ! devant les petits .....en plus ! |
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Claudio

Inscrit le: 27 Oct 2005 Messages: 3788 Localisation: Aux côtés des Valkyries.
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Posté le: Mer Mai 03, 2006 13:33 pm
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Les petits ? Tu les trouve petits maintenant ? D'ailleurs avec une sucette et ils partiront.
Allez, ne te montre pas si choquée, gênée, je comprendrais, mais pas choquée. *En profite pour lui donner un baiser langoureux* _________________ Là où est le vent.
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Ilhy

Inscrit le: 01 Fév 2006 Messages: 968 Localisation: à genoux devant santéria
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Posté le: Mer Mai 03, 2006 13:41 pm
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*sers les llèvres et tourne la tête en le repoussant* M'enfin ! est ce qu'on sait se tenir ici ?
non mais ! tu insistes en plus ! |
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Claudio

Inscrit le: 27 Oct 2005 Messages: 3788 Localisation: Aux côtés des Valkyries.
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Posté le: Mer Mai 03, 2006 13:44 pm
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Pourquoi me fais-tu ça ? Pourquoi cette mise à l'épreuve ? Que t'ai-je fait qui t'ai déplu ? Je me suis mis à genoux pour toi *Mime l'action et se met à genoux*
Je t'aime plus que tout au monde, commande et j'obéirai. Dis-moi d'arrêter et j'arrêterai. Mais tu n'empêcheras pas mon amour d'exister.
Ilhy, je t'aime *le crie haut et fort afin que chacun puisse l'entendre* et je ne puis me passer de toi. _________________ Là où est le vent.
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Ilhy

Inscrit le: 01 Fév 2006 Messages: 968 Localisation: à genoux devant santéria
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Posté le: Mer Mai 03, 2006 13:50 pm
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"Mais enfin lèves toi donc ! ce n'est ni le lieu ni le moment pour ce genre de choses....aller lèves toi...tu vas finir par me gênée" |
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Claudio

Inscrit le: 27 Oct 2005 Messages: 3788 Localisation: Aux côtés des Valkyries.
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Posté le: Mer Mai 03, 2006 13:56 pm
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*Obéissant à son ordre, il se relève rapidement*
Où veux-tu aller alors ? Dis et je te suivrai, comme je te suivrai partout où que tu ailles. Parle-moi. Tes paroles sont comme des chansons qui coulent et dont je ne puis me lasser d'écouter. Ta voix fait vribrer la corde sensible qui se trouve au sein de mon coeur... _________________ Là où est le vent.
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Ilhy

Inscrit le: 01 Fév 2006 Messages: 968 Localisation: à genoux devant santéria
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Posté le: Mer Mai 03, 2006 14:00 pm
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*Si il y a bien une chose qu'Ilhy ne supportait pas c'était que Claudio affiche ses sentiments en public, il était bon pour elle de les entendre sous les draps, mais en public, non !...elle le trouvait presque pathétique*
"claudio, je vais vraiment finir par me facher, on parle de ta promotion ici et ce n'est pas à moi que tu dois faire ce genre de promesses mais à ton clan ! es tu donc aveuglé au point de ne pas pouvoir comprendre cela ?"
*son tonn devenait dur et son visage prenait un air sévère* |
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Claudio

Inscrit le: 27 Oct 2005 Messages: 3788 Localisation: Aux côtés des Valkyries.
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Posté le: Mer Mai 03, 2006 14:13 pm
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Pardon:oops: , tu m'as aveuglé. Je n'ai vu que toi et j'ai perdu de vue le sujet dont nous parlions.
*S'adressant à la foule : Veuillez m'excuser*
*Se tournant vers Ilhy, tout peiné* me pardonnes-tu ? _________________ Là où est le vent.
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Ilhy

Inscrit le: 01 Fév 2006 Messages: 968 Localisation: à genoux devant santéria
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Posté le: Mer Mai 03, 2006 14:16 pm
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*regarde claudio mais n'arrives pas à lui sourire, un petit Mouais sors péniblement de sa bouche, elle le regarde de haut en bas et quitte la pièce, les laissant continuer leur petite sauterie (ou flooderie)....*
ps : moi je me taille avant qu'on ferme ce poste... :d ciao Claudio !:p |
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Claudio

Inscrit le: 27 Oct 2005 Messages: 3788 Localisation: Aux côtés des Valkyries.
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Posté le: Mer Mai 03, 2006 15:17 pm
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Claudio resta quelques instants cloué sur place. Il avait dur à comprendre que c'était Ilhy qui venait de dire ça, il ne la reconnaissait plus tout d'un coup.
Mais il se dit que la faute venait de sa part. Qu'avait-il eu besoin d'exprimer son amour pour Ilhy ainsi aux yeux de tous ? Pourquoi cette soudaine folie s'était-elle emparé de lui ? Elle n'avait pas l'air convaincue de sa bonne foie... Il avait pourtant à maintes reprises essayer de le lui dire, de lui prouver cet amour inconditionnel qui le possédait et dont il ne pouvait se séparer.
Ses gestes étaient-ils déplacés comme son attitude semblait le faire croire ?
Ne l'aimait-elle plus ? Le doute voulu reprendre le dessus. ce doute qui s'était emparé de lui durant son pèlerinage. Ce doute qu'il avait combattu et vaincu. Ce doute qu'il pensait ne plus jamais revoir, lui encore qu'il avait banni de sa vie et qui ressurgissait. Pourquoi les démons du passé lui revenaient-ils à la mémoire ? Qu'est-ce qui avait provoqué leur résurection ? Sans doute cela venait-il du désarroi le plus profond dans lequel Ilhy venait de le plonger. Mais étais-ce uniquement cela ? Après tout, il venait d'acquérir une force, une confiance en soi qui pouvait balayer tout cela comme un fétu de paille. Mais pourquoi cela n'était-il pas possible ? D'où venait cette force qui s'opposait à lui-même .
Ne devait-il pas chercher en lui la cause de ce phénomène inexplicable ?
Ou bien était-ce la force, la puissance qu'exigeait cet amour. Cette intransigeance qui avait installé cette forme du doute qui se trouvait latent, enfoui en lui. Etait-ce contre ça qu'il devrait lutter ?
Une lutte de plus ! Il devait déjà se battre contre le mal qui envahissait la terre de ses pères, se battre pour conserver son amour. Il devait cobattre toutes les formes qui s'opposaient à lui. Ne connaitraît-il que le combat ? Mais où se trouve la paix, l'amour, la bonté, le calme ? Et lui que devenait-il dans tout ce cirque infernal ? Devenait-il fou au point de ne plus savoir ce qui était réel de ce qui ne l'était pas ? Prenait-il ses pensées, les illusions qu'il voyait pour une réalité ?
Claudio était plongé dans un cirque infernal de pensées, de questions toutes plus moroses les unes que les autres. En sortira-t-il intact ?
Il luttait, il ne devait pas laisser le doute s'installer en lui et prendre sa revanche. Il devait gagner, il devait lutter. Mais pour qui ? Pour quoi ? lui soufflait le doute. Après tout elle t'a laissé tomber comme un vieux chiffon sale. Non, Claudio reprenait le dessus. Non, elle ne m'a pas laissé tomber. C'est TOI qui m'enfonce ! C'est TOI qui te bat contre moi ! Pourquoi le fais-tu ? Pourquoi dois-je te battre ? Mais tu ne dois pas me battre, tu ne te bats pas contre moi lui disait le doute de sa voix mieilleuse. Tu ne le pourrais, car je suis toi, tu ne peux lutter contre toi-même, tu ne le peux...
Et pourtant, je l'ai déjà fait ! Et je t'ai vaincu ! Je peux lutter contre moi-même !
Sa confiance reprenait le dessus.
Qu'est-ce qui te fait dire ça ?
Le doute perdait pied au fur et à mesure que la confiance de Claudio reprenait le dessus.
Ah ah, c'est Toi qui te met à douter maintenant ? Tu viens de faire une erreur. Regarde-moi, je t'ai vaincu. Tu ne m'enlèveras rien ! Tu ne m'auras pas. Je lui offre mon amour et cela tu ne sais me l'enlever, tu le sais. Tant que je me raccrocherai à ça, tu ne m'auras pas !
Et le doute se tût, il venait de perdre sa seconde bataille. Sa deuxième défaite lui rappela sa cuisante défaite précédante et il se tût.
Claudio débarrasé de son principal démon n'eut aucune peine à se débarasser des autres qui l'avaient assailli.
Ilhy avait profité de ce court instant pour s'éclipser. Claudio regarda autour de lui, il ne semblait n'y avoir personne. Il sortit donc de la pièce.
Et se mit à la recherche d'Ilhy. Justement, elle n'était pas très loin. Il la ratrappa.
"Ilhy, veux-tu venir ? Veux-tu me suivre quelques instants ? J'aimerais que l'on se parle, que l'on discute un petit moment."
Le ton de sa voix exprimait le repentir. Il désirait juste une explication, les denières remarques d'ilhy l'ayant peiné et blessé profondément.
Il s'était sentit jeté, abandonné, perdu. Il avait cru perdre l'amour d'Ilhy et comme il y tenait plus que tout au monde, il avait eu peur de le perdre. Une peur qui vous prend au creux des entrailles, qui remonte vers le coeur, qui vous prend tout entier et qui ne vous lâche pas. Qui s'aggripe à vous comme la mort ne lâche pas sa proie. Une peur soudaine et dévastatrice !
Ses sentiments et émotions souvent confuses et mal exprimées se mélangeait tour à tour et formaient un étrange bouillon qui l'habitait tout entier pendant ces périodes difficiles.
Toutes ses émotions étaient marquées sur son visage, il n'avait pu les soustraire et ne le désirait nullement. Il attendit la réponse d'Ilhy.
( hrp : j'aimerais que seule Ilhy y réponde, merci ) _________________ Là où est le vent.
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Ilhy

Inscrit le: 01 Fév 2006 Messages: 968 Localisation: à genoux devant santéria
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Posté le: Mer Mai 03, 2006 19:34 pm
Sujet du message: |
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Ilhy entendit Claudio derrière elle, elle soupira. pourquoi était il encore là, pourquoi était il toujours là…elle prit sa respiration et répondit le regard dans le vide « non…s’il te plait…pas maintenant...J’ai besoin d’être un peu seule » Et sans même attendre sa réponse, sans même le regarder elle parti.
hrp : Claudio, si tu pouvais déplacer ton poste  |
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Claudio

Inscrit le: 27 Oct 2005 Messages: 3788 Localisation: Aux côtés des Valkyries.
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Posté le: Ven Mai 05, 2006 23:30 pm
Sujet du message: |
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Claudio resta sur place cloué par les dernières paroles prononcées par Ilhy. Il la regarda s’éloigner en silence. Que pouvait-il faire pour la retenir, il avait tout essayé ! Justement, en avait-il trop fait ?
Le vase venait de déborder. Claudio ne comprenait pas que plus il la retenait, plus il était sur elle, plus il l’étouffait. Il devait la laisser vivre, la laisser exister. Il risquait de la perdre ainsi.
Il se dit que oui. Puis en y réfléchissant un peu plus, il se critiqua. Il devit être impossible à vivre. Pourquoi était-il toujours derrière elle, presque à la surveiller ? Il devait l’étouffer dans sa passion dévorante. Mais elle risquait de les démolir.
Claudio avait fini par comprendre son erreur… _________________ Là où est le vent.
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Claudio

Inscrit le: 27 Oct 2005 Messages: 3788 Localisation: Aux côtés des Valkyries.
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Posté le: Sam Mai 06, 2006 23:27 pm
Sujet du message: |
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Encore une ! Il venait d’avoir encore une dispute avec Ilhy. Une bête altercation dont il ne se souvenait plus des motifs exacts. Lui s’était buté sur sa position et Ilhy têtue n’avait pas bougé d’un pouce. Ils s’étaient séparés en colère et ruminait chacun dans leur coin. C’est dans ce contexte explosif que Claudio sans s’en apercevoir sorti de la forteresse et ruminait de sombres propos entre ses dents. Il parcourut ainsi un chemin assez long et s’aventura dans une région qu’il ne connaissait pas.
Il finit par se calmer, mais il était trop tard ! Il était complètement perdu !
Il décida de faire demi-tour et de marcher en ligne droite, il rencontrerait bien quelqu’un.
Cela faisait des heures qu’il marchait et pas âme qui vive ne fût rencontrée.
Soudain, il se sentit appelé. Il regarda autour de lui pour voir qui lui parlait et ne vit personne.
« Holà, jeune guerrier, viens un peu ici, me donner un coup de main ! »
En regardant mieux, il la vit. Une vieille bigote qui essayait vainement de charger sur son dos rabougris un fagot de branchages.
Tout d’abord, il se mit à rire. Mais se tu aussitôt en voyant le regard noir que lui lança la sorcière !
« Hé, grand-mère, que veux-tu que je fasse ? » demanda Claudio.
« Viens m’aider à porter ce fagot jusqu’à ma chaumière et tu seras récompensé. » lui dit-elle.
« D’accord » répondit-il.
C’était la seule personne aux alentours qu’il rencontrait, il allait pouvoir connaître sa route et peut-être avoir un petit peu à manger. Car un gargouillis sournois lui parcourait régulièrement le ventre.
La cabane était invisible pour un non-initié. Elle était tapie dans un creux entouré d’un fouillis d’arbustes qui semblaient avoir été mis là exprès. Il déposa le fagot contre la cheminée et attendit la récompense promise.
« Viens ici, regarde-moi dans les yeux et dis moi quel est ton problème » crachota la vielle.
« Je n’ai pas de problème » dit Claudio.
Mais comme il disait cela, il savait que c’était faux.
« Si tu n’avais aucun problème, tu ne serais pas ici et tu ne m’aurais pas vue » lui dit-elle avec plein de bon sens.
Comment pouvait-elle savoir cela ? Il avait l’impression que son âme, son cœur, son corps étaient à nu et qu’elle pouvait voir à travers.
« Oui, tu as raison. J’ai des problèmes » avoua Claudio.
Il se mit à lui raconter les déboires qu’il avait eus dernièrement avec Ilhy, la malchance qui semblait s’acharner sur lui et son impuissance à les résoudre.
Il raconta beaucoup, c’était une vraie confession qu’il lui fit.
A la fin de son récit, un long calme s’installa, aucun des deux ne soufflant mot.
Quand enfin, elle trouva que Claudio avait retrouvé sa sérénité, elle s’adressa à lui.
« Je vois que tes traits sont devenus plus serein, tu es donc en mesure de m’écouter à présent. As-tu réfléchis à ce que tu étais devenu ?
Je vois que non » dit-elle devant son air perplexe.
« Eh bien, tu étais devenu un sombre idiot, un égoïste de première, … » énonça-t-elle. Elle lui jeta à la figure tous les défauts qui le possédaient sans laisser à Claudio le soin de se défendre ou de répliquer. Une fois sa diatribe finie, elle lui fit comprendre qu’il devait changer l’ensemble, s’il désirait que la chance lui sourie, s’il désirait être plus heureux en amour, s’il voulait vivre.
Elle lui avait en quelques mots bien sentis, montrée son profond égoïsme et les conséquences qui découlaient : Rejet de ses amis, repli sur lui-même, arrivant à étouffer Ilhy.
Il resta un certain moment prostré sur lui-même, refusant de reconnaître la vérité. Mais sa conscience fit le travail à sa place.
On pu voir le changements sur ses traits qui s’altéraient au fur et à mesure du changement.
Il était d’abord buté, replié sur lui. Puis il se crispa sous la lutte intérieure qui l’animait. Il passait par des crises de pleurs de rages et des moments trop calmes qui semblaient être une rémission avant la prochaine tempête. L’orage mis du temps à se calmer. La raison fini par vaincre son orgueil. On vit son visage s’éclairer, s’illuminer. Un sourire qui n’était que rarement présent fleurit. Sa perception se modifia, ses sentiments changèrent. Une fois sa transformation achevée la vieille lui adressa une dernière fois la parole.
« Tu n’as plus besoin de moi à présent. Dès que tu auras quitté les limites de mon domaine, tu oublieras notre rencontre, les raisons de ton escapade. Mais les changements effectués dans ton cœur resteront ainsi que le vague souvenir d’une dispute. Tu sauras que tu devras te faire pardonner. Puisses-tu maintenant prendre ta vie en main et la conduire avec sagesse. » Sur ces derniers mots, elle s’évanouit dans la nature.
Claudio fit les quelques pas qui le conduisirent hors du domaine. Et comme l’avais prédit la vieille, il oublia.
Qu’est-ce que je fais ici ? Se demanda Claudio. Il essaya de se souvenir, mais tout ce qui venait à son esprit était le souvenir d’une dispute. Tout ce qui s’était passé entre-temps, il ne pu se le remémorer.
Il s’orienta, découvrit qu’il n’était pas très loin de chez lui et se mit en route. Il avait beaucoup à se faire pardonner.
_________________ Là où est le vent.
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